A froid, quelques jours après les Résultats (avec un R majuscule), je ne résiste pas à jeter mon ressenti sur la toile. Dans la lignée d’un autre blog, voici, comme un écho, une inspiration/traduction libre d’un de mes morceaux favoris… Après c’en sera fini de mes interventions politicasardeuses. Quoique.
C’est un mystère pour moi (et pour d'autres)
Le jeu commence (chat/souris, riche/pauvre, soit-disant bosseur, soit-disant glandeur)
Au tarif habituel (la résignation ?)
Plus les frais (mon âme ?)
Informations confidentielles (en tout cas pour nous pauvres péquins de la rue)
C’est dans le journal (pré-maché, 200% de sucre pour faire passer)
C’est mon enquête (faut gratter)
Pas une commission publique (mais je la partage avec ma douce)
J’épluche les rapports (la presse,
Je remue la boue (qui cache la vérité, à croire qu’elle est mise là exprès)
On rencontre de tout (l’incroyable diversité de la stupidité humaine)
Dans ce genre de boulot (dur d’être humain)
Traîtrise et trahison (il en faut tellement en politique)
Pour ça, toujours une excuse (c’est pas moi qu’ai commencé m’sieur)
Et quand j’en découvre la raison (seulement une part de la vérité ?)
Je ne m’y fais toujours pas (impossible de me résigner)
Et qu’est-ce qu’il reste à la fin de la journée ? (et à la fin de la fin ?)
Qu’en tirer ? (Qu’apprendre ?)
Une bouteille de whisky et un nouveau tas de mensonges (et un nouveau président pour 5 ans)
Les stores tirés sur la fenêtre et une douleur près de l’œil (des œillères pour le peuple, et les cheveux qui poussent à l’intérieur).
Marqué pour la vie
Pas de compensations
Enquête privée
(solo de guitare… Basse menaçante… Riff rageur… Explosion d’émotion !)
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