A côté d’elle, je rassemble mes propres forces pour tenter de lui insuffler l’énergie, la volonté. En douceur, je déniche trésors de patience et d’amour pour prolonger l’instant. Je souffle quelques mots doux.
Mais comme la brise d’hiver, l’issue est bien là. Portée par la douleur, aucun mur ne peut l’arrêter. Aucun mot n’arrête le froid.
Alors vient le renoncement. Cet instant qui, je l’espère, l’a rendue si légère qu’elle s’en est envolée vers la paix à laquelle elle aspire. Au bout du souffle, la libération ?
Je ne sait pas si c'est une libération, mais en tout cas un texte magnifique...
RépondreSupprimer> Steph : Une libération ultime pour elle, une certaine libération de l'émotion pour moi...
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